Bienvenue sur le site officiel de l'association Vendée-Akamasoa, relais vendéen et humanitaire en faveur des actions permettant de financer, soutenir et favoriser l'oeuvre caritative du Père Pedro à Madagascar. Pour tout renseignement et/ou dons, vous pouvez nous écrire PAR LE LIEN CI-DESSUS intitulé : CONTACT (en haut de la page d'accueil, sous la bannière du blog).
Diego Maradona, né le 30 octobre 1960 à Lanús (province de Buenos Aires, Argentine) et mort le 25 novembre 2020 à Tigre, a été un footballeur international argentin devenu entraîneur, véritable mythe dans son pays et dans le monde entier. Il évoluait au poste de milieu offensif sous le maillot nᵒ 10.
L'Argentine est aussi le pays du père Pedro (comme le pape François, les deux hommes se connaissent bien), missionnaire qui a toujours aimé le football, né à San Martin de parents Slovènes, et voulu même un temps devenir joueur professionnel...
Pedro Opeka a rendu hommage à Diego Maradona en vidéo ↓
(Cliquez sur la flèche en bas de la vidéo, à gauche, et on peut remettre la vidéo au départ et/ou faire "stop" pour revenir en arrière, en jouant sur le rond blanc) ↓
Un dimanche après midi ensoleillé de 2017, le père Pedro s'occupe de la vingtaine d'orphelins qui l'entourent en permanence. Il a revêtu son maillot argentin et shoote avec brio dans un ballon signé Messi (Lionel) ! Pedro Opeka a rencontré le footballeur Lionel Messi le 18 novembre 2016 → C'EST LÀ, CLIQUEZ
Il a d'ailleurs hésité avec la vocation de footballeur... Quel perte cela aurait été pour le monde, les plus pauvres et Akamasoa ! Trois nouvelles recrues arrivent en plein tirs au but dans la vidéo ci-dessous. Et le père Pedro n'est pas en reste...
↓ Madatrek (grande aventure de la famille Poussin) joue au foot avec le père Pedro ! ↓
Autres souvenirs en images du monde du football professionnel...
Le Père Pedro a rencontré Lionel Messi le 18 novembre 2016 en Espagne, au FC Barcelone, mais aussi Javier Alejandro Mascherano, ce dernier sur la seconde photo ci-dessous (reproduction des photos strictement interdite sans autorisation).
Le 26 octobre 2020, Akamasoa a fêté le 50 ans de l'arrivée du père Pedro à Madagascar (reproduction interdite sans autorisation).
Le père Pedro vient de fêter les 50 ans de son arrivée comme missionnaire à Madagascar, une île qu'il n'a non seulement jamais quitté pour s'occuper des plus démunis, mais où il a créé avec son équipe, soutenus par de généreux donateurs et mécènes, un havre de paix et de sauvegarde pour l'avenir des plus pauvres dans leur village "Les bons amis" d'Akamasoa !
POUR VOIR L'ALBUM PHOTO DES 50 ANS DU PÈRE PEDRO À MADAGASCAR, →CLIQUEZ ICI
Mais un autre document inédit vient conforter à sa manière l'esprit du chemin parcouru, et l'engagement du père Pedro, dans cette région pauvre de Madagascar où il a élu domicile : un film réalisé le 6 novembre 1995 par le vidéaste et photographe Jacky Leisenring, qui a officié longtemps à La Réunion, notamment, et qui a ce jour de 1995 rencontré le père Pedro, et tourné un petit film inédit avec Pedro Opeka à Akamasoa : "Cette rencontre a sûrement influencé aussi ma vie, ce prêtre a un charisme extraordinaire" se souvient Jacky Leisenring, qui enchaîne : "Il me revient en mémoire, en ce matin du 6 novembre 1995, une phrase du père Pedro gravée dans mon esprit depuis 25 ans, et qui avait dit à propos de la pauvreté : on n'arrivera pas à me convaincre qu'ensemble, on ne puisse rien faire."
↓ VOICI CI-DESSOUS LA VIDÉO INTITULÉE "LE COMBAT DU PÈRE PEDRO" FILMÉ ICI EN 1995)
Entre le film ci-dessus (6 novembre 1995), et des photos de la fête des 50 ans ci-dessous (le 26 octobre 2020) : 25 années se sont écoulés, ce qui donne de la force à ce témoignage vidéo inédit du père Pedro...
50 ans de Pedro Opeka marqué comme il se doit en cette anée 2020 (reproduction interdite sans autorisation)
« Mon troisième livre – À la Table des Présidents (Le Cherche Midi) – , c’est six ans de recherches et de travail dans les archives, et ce n’est pas juste un ouvrage de 60 recettes à réaliser chez soi, mais aussi l’envers du décor culinaire élyséen ; l’envers de l’histoire par l’assiette à travers des menus emblématiques de collection qui ont marqué de grandes rencontres à l’Élysée » explique Guillaume Gomez, chef cuisinier du Palais de l’Élysée, qui signe un bel ouvrage, à la fois culinaire et historique. Et trois présidents de la République française préfacent l’ouvrage : Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron. Guillaume Gomez a aussi été le chef cuisinier de Jacques Chirac (1932-2019).
Mais Guillaume Gomez est aussi un homme de cœur, discrètement engagé dans plusieurs associations caritatives. Auteur d’ouvrages culinaires, ses droits sont reversés à la lutte contre la maladie, ou encore l’humanitaire. Et cette fois, acheter le livre « À la Table des Présidents » va indirectement bénéficier aussi au père Pedro, à travers l’école de Félix qui forme dans les Instituts d’Excellence Culinaire Guillaume Gomez, les chef(fe)s de cuisine de demain, dont des protégé(e)s de Pedro Opeka. Qui sait si un(e) protégé(e)s du père Pedro ne deviendra pas un jour chef de cuisine à l'Élysée ?
Trois Instituts d'Excellence Culinaire Guillaume Gomez sont déjà opérationnels (Madagascar et île Maurice). Le chef cuisinier finance ainsi ces structures avec les frères Mathias et Gauthier Ismail, ou encore la société Oso Farming (gambas bio) : « À Madagascar ou l’île Maurice, il y a des gens qui n’ont accès à rien, dans une pauvreté totale, où des enfants ne sont pas scolarisés. Un jour, nous sommes allés avec les frères Ismail rendre visite au père Pedro, nous avons pris un café ensemble et l’aider dans ses œuvres à Akamasoa a été tout de suite évident ! »,poursuit Guillaume Gomez.
Le chef cuisinier enchaîne et insiste : « Votre soutien permet à la Fondation École de Félix de financer la construction, les équipements pédagogiques ainsi que les frais de fonctionnement des Instituts d’Excellence Culinaire Guillaume Gomez, dont le premier établissement a ouvert en avril 2019 dans la région des Tsingy de l’Ankarana à Madagascar. Deux autres instituts ouvriront en 2020, à Tananarive dans le village d’Akamasoa, et à l’Ile Maurice sur le site de REYNAUD Les Halles. »
Le livre de Guillaume Gomez « À la Table des Présidents » est un vrai festin de 60 recettes de cuisine, mais également d’anecdotes, autant gastronomiques qu’historiques. Un repas élyséen est toujours en même temps un miroir culinaire des invités ; des agapes d’exception qui incarnent à la fois l’âme gastronomique de la France, et les goûts des personnalités reçues par les présidents français : le choix des mets, de produits, du vin, etc. Pas simple pour le chef à conjuguer quand il faut recevoir les dirigeants du monde pour la COP21 sur le climat (200 convives), et incarner alors l’impact gastronomique et « l’esprit » novateur d’un tel repas ? Son impact aussi à son issue. Avec Guillaume Gomez, le menu est toujours prétexte à l’histoire, de René Coty avec le couple royal d’Angleterre en 1957, en passant par de Gaulle recevant John et Jackie Kennedy en 1961, la venue de Barack Obama en 2009 ou Trump en 2018. De l’importance d’une bonne table pour faire aussi l’Histoire de France.
↓ Écoutez également EN VIDÉO, à la radio RTL, Guillaume Gomez raconter les coulisses des repas du palais présidentiel français... ↓
(*) « À la Table des Présidents » de Guillaume Gomez (Le Cherche Midi). Grand album relié et illustré. 224 pages. En librairie ou sites de vente en ligne. 39 €.
Saisie d'écran compte Twitter Guillaume Gomez (reproduction interdite sans autorisation)
Les Instituts d’Excellence culinaire Guillaume Gomez (IECGG) est le fruit d’une rencontre et d’une amitié entre Guillaume Gomez, chef cuisinier de l’Élysée, etMathias et Gauthier Ismail, deux frères à l’initiative de la Fondation École de Félix. Cette association, de droit malgache reconnue d’utilité publique depuis 2014, vient en aide aux enfants malgaches à travers la formation et l’éducation. Cette rencontre a été impulsée en 2018 par la Première dame de France Brigitte Macron.
Une première promotion n’est que le début d’une belle aventure qui formera dès 2020, plus de 150 jeunes scolarisés dans trois écoles. En effet, il est prévu en 2020 l’ouverture d’un second Institut d’Excellence culinaire malgache dans le village d’Akamasoa, à Antananarivo, et d’un troisième à l’île Maurice. Pour celui d’Akamasoa, ce seront des pensionnaires du père Pedro qui réalisent la maçonnerie, et des vœux sont faits pour que tout soit près pour le 60ème anniversaire de l’indépendance de Madagascar…
10 élèves en situation de précarité extrême ont donc intégré, cette année 2019, la première promotion de l’IECGG, et ont reçu pas moins de 960 heures de cours de techniques professionnelles, d’hygiène, de travaux pratiques de cuisine, de pâtisserie et de service. Ils sont prêts aujourd’hui à intégrer les plus prestigieux établissements de Madagascar pour effectuer leur 4 mois de stage, à l’issue desquels une évaluation leur permettra d’obtenir ou non leur diplôme : « Je suis extrêmement fier du travail de ces jeunes et du niveau de compétences qu’ils ont acquis en seulement quelques mois. Seul un élève a abandonné le programme en cours de route, les autres se sont accrochés pour se forger un avenir meilleur et donner du sens aux valeurs que nous portons : l'éducation, la formation et la transmission. Ils sont l’exemple même qu’avec du travail, de la motivation, un programme bien établi et un encadrement rigoureux, on obtient des résultats fantastiques », se rejouit Guillaume Gomez. Et ce n'est sans doute qu'un début.
(Reproduction de la photo interdite sans autorisation)
Le 26 octobre 2020, le village d'Akamasoa a marqué les 50 ans de mission du père Pedro à Madagascar au service des plus pauvres.
Un repas d’amitié et de solidarité a eu lieu au Centre Culturel d’Akamasoa à Manantenasoa, organisé par Patrick Pizal, directeur général de Telma. 160 invités dont une centaine de personnes d’Akamasoa, en présence de l'Archevêque d’Antananarivo Odon Marie Arsène Razanakolona, mais aussi Mme Lova, directrice du Cabinet de la Présidence ; le Ministre des Travaux Publiques Hajo Andrianainarivelo ; la Ministre de l’Éducation Nationale Marie Michelle SAHONDRARIMALALA, et une cinquantaine de personnes d’entreprises partenaires et donateurs (Epsilon, Sogea, Akanjo, Canal Plus, etc). La cérémonie était animée par le chanteur Jaojoby.
Les 15.200 enfants de l’école d’Akamasoa ont vu leur déjeuner agrémenté d’une boisson pétillante et d’un gâteau. Un don a également été remis par les Sœurs de la Congrégation de Saint Vincent de Paul et les Prêtres Lazaristes qui œuvrent sans relâche pour lutter contre la famine qui ravage le Sud du Pays.
Le père Pedro, saint homme à Madagascar depuis 50 ans ! (Reproduction interdite sans autorisation)
Si vous croisez le père Pedro, vous pouvez en cette année 2020 lui souhaiter encore un triple anniversaire !
Lundi 26 octobre 2020, Pedro Opeka a célébré à Akamasoa ses cinquante années de mission humanitaire à Madagascar où, avant de se mettre au profit des plus démunis, il s'installa en 1970 dans la Grande Île, pour devenir maçon dans les paroisses lazaristes pendant 13 ans à Vangaindrano sur la côte sud-est. Auprès des paysans, des villageois et des jeunes, le père Pedro décide de devenir missionnaire et de se consacrer aux plus pauvres de l'île rouge...
↓ VIDÉO : les enfants malgaches ont dansé en l'honneur du père Pedro pour marquer les 50 ans de son arrivée ↓
Pedro Pablo Opeka, est né le 29 juin 1948 à San Martin, chef-lieu d'arrondissement de la province de Buenos Aires, de parents réfugiés slovènes. Après son baccalauréat, Pedro Opeka quitte Buenos Aires et découvre sa vocation de prêtre au pied des Andes, aidant avec un groupe d'étudiants catholiques les indiens mapuches.
Il décide de rentrer au noviciat pour devenir prêtre et entame, à dix-sept ans, le séminaire chez les pères lazaristes (ordre fondé en 1625 par saint Vincent de Paul), et commence des études de philosophie et de théologie au Colegio Máximo de San Miguel dans le Grand Buenos Aires. C'est là qu'il rencontre le futur Pape François et devient l'un de ses étudiants.
En 1968, à vingt ans, le jeune homme part approfondir sa formation à l'université de Ljubljana en Slovenie, pays d'origine de ses parents. Et en 1970, il part donc pour la première fois à Madagascar pour être maçon. Dans une des régions les plus démunies du sud-est de la grande île, Pedro Opeka aide les paysans à améliorer la culture du riz, des céréales et du café. Il crée aussi des groupes de villageois et de jeunes, pour les aider à réfléchir ensemble, bâtir des projets communs et à prendre en main leur futur. Pedro Opeka acquiert la conviction qu’il sera missionnaire et continue ses études de théologie à partir de 1972, durant trois années en France, à l'Institut catholique de Paris, et voyage dans toute l'Europe, où il se fera de nombreux amis.
Le 28 septembre 1975, à 27 ans, il est ordonné prêtre à Buenos Aires en Argentine, et prononce ses vœux de missionnaire dans l'église lazariste de la rue de Sèvres à Paris, épousant ainsi la cause de Saint Vincent de Paul en vouant sa vie au service des plus démunis.
↓ Et c'est donc cette année 2020 que le père Pedro fête aussi ses 45 ans de sacerdoce ↓
45 ans de sacerdoce en 2020 pour le père Pedro ! (Reproduction interdite)
En 1975, le Père Pedro revient donc à Madagascar pour être curé de la paroisse à Vangaindrano, durant quatorze ans.
La lutte contre la pauvreté devient son combat quotidien : « Plongé jusqu'à mi-corps dans l'eau boueuse des rivières de Vaingaindrano, le père Pedro, les jambes couvertes de sangsues, s'acharne à convaincre ses amis malgaches qu'il est possible de réaliser deux récoltes de riz chaque année au lieu d'une comme le voulait la tradition », remarquent déjà les amis du père Pedro, homme de foi doté d'une détermination à toute épreuve encore aujourd'hui, dont la force de caractère et le dévouement pour les pauvres ne changent pas !
En mars 1989, il est nommé directeur du scolasticat des Lazaristes de la capitale malgache, afin de former les jeunes frères de cette congrégation. Et c'est cette même année que Pedro Opeka fonde avec des ami(e)s malgaches "Akamasoa", "Les bons amis" (Les amis fiables et sincères), avant Noël, découvrant avec de jeunes séminaristes les pauvres d'Antananarivo fouillant à mains nues dans une décharge pour (sur)vivre... L'association Akamasoa est reconnue d'utilité publique par le gouvernement malgache depuis 2004, et marque donc aussi ses 30 ans.
Le père Pedro parle couramment six langues : espagnol (sa langue maternelle), slovène, français, italien, anglais et malgache.
↓ VIDÉO : retour avec le père Pedro sur son oeuvre humanitaire à Madagascar ↓
Le père Pedro se bat pour autofinancer une grande partie de son association et finance aussi son combat contre la misère en voyageant à travers le monde, tenant des conférences pour présenter le travail et la lutte qu'il mène au quotidien avec Akamasoa pour susciter des dons. L'association Vendée-Akamasoa, notamment, est à ses côtés pour générer des dons, actions caritatives, envois de marchandises, etc.
Le père Pedro est l'auteur de plusieurs livres, comme "Père Pedro, un révolté au service des pauvres" (Salvator) avec le photographe Laurent de Gerhardt, et le coauteur de deux livres avec l'abbé Pierre. Pedro Opeka est régulièrement interrogé par la presse malgache et internationale. Des reportages sur les actions du père Pedro sont fréquemment diffusés sur diverses chaînes de la télévision française, et mondiale. Deux documentaires sur Pedro Opeka et son oeuvre humanitaire, films primés dans des festivals internationaux, viennent d'être réalisés par le réalisateur Cam Cowan.
Le père Pedro a déjà figuré sur la liste des nominations pour le Prix Nobel de la Paix, avec le soutien des gouvernements de Slovénie et de Madagascar, ainsi que de parlementaires français, d'associations et organismes canadien, argentin, australien, monégasque, etc.
Dimanche 29 septembre 2019, le père Pedro a reçu des mains du président de la République de Madagascar, Andry Rajoelina, la décoration de Commandeur du Grand Croix de deuxième Classe, au stade Saint Pierre Andralanitra, à Madagascar.
Mais consécration suprême, autant que soutien total à la lutte contre la pauvreté, c'est bien la visite du pape François à Madagascar et à Akamasoa, le 8 septembre 2019, qui marque l'importance de l'oeuvre de Pedro Opeka à Madagascar, symbole aussi de la lutte contre la pauvreté dans le monde entier !
↓ VIDÉO : retour sur la visite du pape François à Akamasoa, le 8 septembre 2019 ↓
C'était le dimanche 8 septembre 2019, à Akamasoa (reproduction interdite sans autorisation)
Cette année 2020, la pandémie du coronavirus Covid-19 a eu aussi ses dommages collatéraux dans l'organisation des déplacements du père Pedro dans le monde à la rencontre de mécènes et donateurs pour ses oeuvres...
Cette situation qui met indirectement en péril les dons permettant de venir en aide aux plus pauvres de Madagascar, a été adoucie par une aide financière du Saint-Père, lors de sa visite à Akamasoa, dimanche 8 septembre 2019.
Dans une interview à "Vatican News", Pedro Opeka revient sur la visite du souverain pontife à Madagascar, il y a un an, et sur le soutien exceptionnel et salvateur du pape François à cette occasion : « Un mois après la grande fête de l’accueil du Pape, nous avons célébré les 30 ans d’Akamasoa à côté d’une décharge, où nous avons un stade. Il y avait aussi plus de 30 mille personnes. Des jeunes et des enfants ont fait un jeu d’ensemble extraordinaire, en présence de plusieurs invités notamment le président de la République, les ministres et les ambassadeurs (...) Par ailleurs, à cette occasion, le Pape nous avait accordé une aide. Pour cette année 2020, toutes mes tournées ont été annulées à cause du Coronavirus. Et c’est grâce à l’aide que le Pape nous a donnée que nous avons pu survivre et continuer à travailler (...) Avec cette aide que le Pape nous a accordée, nous avons construit 20 logements pour des femmes qui ont été abandonnées par leurs maris et qui ont de nombreux enfants. Il faut voir la joie de ces enfants et leurs mamans. »
LIRE ET ÉCOUTER (EN AUDIO) sur Vatican News,
→ L'INTERVIEW DU PÈRE PEDRO pour l'anniversaire de la venue du pape François → en cliquant ici
↓ et pour mémoire, retour en images sur le visite du Sain-Père à Akamasoa, dimanche 8 septembre 2019 ↓
« J’ai envie d’interpréter ces textes avec la même ferveur que celle dans laquelle Saint-Thérèse-de-Lisieux les a écrits. Chanter ces poèmes, c’est comme chanter les textes qu’une amoureuse a écrit à Celui qu’elle aime ».
Vendredi 18 septembre 2020 à 18 h et 20 h 30, en la cathédrale de Luçon (Vendée), Natacha St-Pier interprètera de nouveau Sainte-Thérèse-de-Lisieux, avec l'album « Saint-Thérèse-de-Lisieux, Aimer c'est tout donner », après son premier opus « Thérèse, Vivre d'amour »,au bénéfice des oeuvres du père Pedro, et avec deux concerts exceptionnels.
Les bénéfices seront versés au profit de l’œuvre humanitaire « Akamasoa » du Père Pedro à Madagascar, missionnaire argentin lazariste qui travaille depuis plus de trente ans avec les familles les plus pauvres de Madagascar. Pour leur permettre de quitter les décharges de Tananarive, il a construit avec eux plusieurs villages, développé l’accès au travail, à l’enseignement (15.000 enfants scolarisés) et aux soins de santé.
Réservations des places sur le site ↓
Tarif de soutien : 50 euros. Tarif adulte : 35 euros. Tarif enfants (de 5 à 13 ans) : 15 euros.
Fin 2020, le 22ème container envoyé par l'association Vendé-Akamasoa partira pour Akamasoa à Madagascar (reproduction de toutes les photos interdites sans autorisation).
Deux nouveaux containers (140 m3) avaient été expédiés par l’association Vendée-Akamasoa, le 29 mai 2020 (POUR MÉMOIRE, LIRE EN CLIQUANT ICI →), vers Madagascar, remplis de produits de première nécessité, grâce aux dons d’entreprises et soutiens financiers de mécènes.
Les containers sont arrivés le 3 août 2020 à Madagascar après un long voyage en bateau chez le père Pedro, toujours aussi ému avec aussi ses protégés du village d’Akamasoa, par la générosité des donateurs. Voici son message :
« Chers amis de Vendee-Akamasoa,
Grand merci pour les deux containers arrivé ce jour. On peut sentir votre grande amitié envers Madagascar et ses enfants. Votre don est à la mesure de votre Coeur Vendéen. Vous avez envoyé plein de choses comme les vêtements, chaussures, parasols, portes et fenêtres, biscuits, ustensiles de cuisine, des milliers de sardines qui vont réjouir les élèves à la cantine, des jouets, des chaises et tables en plastique et pleins d'autres choses qui vont servir pour le Peuple d'Akamasoa. Pour tous ces enfants et leurs familles qui vont bénéficier de ces dons, je vous redis notre remerciement et notre reconnaissance pour votre grand esprit de partage.
Vive le partage, vive la fraternité et l'amitié entre les Peuples et vive l'Humanité réconciliés avec les plus pauvres. Voici quelques photos du déchargement. Il y avait 85 femmes et 20 hommes. Nous avons commencé le déchargement à 10 heures et nous avons fini le travail à 15 heures. Tout a été fait à la main. Les dépôts sont pleins de belles choses. Grâce à Dieu tout c'est bien passé. Toutes les femmes et tous les hommes qui ont déchargé les containers ont reçu tous un souvenir. Ils ont applaudi avec beaucoup de force et de joie.
Grand merci à tous les Vendéens et Vendéennes, les donateurs et mécènes qui ont offert ces dons et tous les bénévoles qui ont chargé les containers. De tout cœur nous vous remercions !
Encore une fois merci à vous tous. »
Père Pedro
Le déchargement a pris des heures pour les volontaires mobilisé(e)s, comme à chaque fois !
Dans les deux containers expédiés cette fois pour le père Pedro, on trouvait notamment : 25 000 boites de conserves de poisson offertes par GENDREAU (Sardines « les Dieux ») à Saint-Gilles-Croix-de-Vie (Vendée) ; 20 palettes de biscuits LU offertes par l’intermédiaire de la Banque Humanitaire du Pallet (Loire-Atlantique) ; 7 palettes de vêtements pour enfants offerts par CWF les Herbiers ; 4 palettes de vêtements et chaussures offerts par l’Hyper U des Herbiers ;
40 palettes offertes par une autre enseigne de la grande distribution composées : d’équipements et mobiliers de jardin,
et de matériels de cuisson (destinés à l‘institut culinaire Guillaume Gomez d’Akamasoa, école de cuisine initiée à Madagascar par le chef de l’Élysée, en lien avec le Père Pedro, l’École de Félix, des partenaires locaux et les frères Mathias et Gauthier Ismail).
L’association Vendée-Akamasoa prévoit l’envoi d’un prochain container (ce sera le 22ème container envoyé à père Pedro) aux alentours de fin septembre, début octobre 2020. Nous serons très heureux de renouveler cette opération avec les bénévoles de l’association, ses mécènes et donateurs, et l’entreprise System U. À suivre !
Le message des protégés du père Pedro est merci à toutes et à tous !
Natasha St Pier sera à Luçon (Vendée) le 18 septembre 2020 pour deux concerts humanitaires au profit du père Pedro
« Sortir les albums "Thérèse, Vivre d'amour" et "Saint-Thérèse-de-Lisieux, Aimer c'est tout donner" en France était tout à fait atypique, et le but n’était pas de toucher uniquement un public de croyants mais de rassembler des auditeurs de toutes confessions voire des non-croyants… », raconte Natasha St-Pier. « J’ai envie d’interpréter ces textes avec la même ferveur que celle dans laquelle ils ont été écrits. Chanter ces poèmes, c’est comme chanter les textes qu’une amoureuse a écrit à Celui qu’elle aime ».
La chanteuse interprète de nouveau Sainte-Thérèse-de-Lisieux, après le premier album « Thérèse, Vivre d'amour », et Natasha St-Pier le fera au bénéfice des oeuvres du père Pedro avec deux concerts exceptionnels en la cathédrale de Luçon (Vendée), vendredi 18 septembre 2020 à 18 h et 20 h 30.
Cette soirée de deux concerts alliera la beauté et l’universalité des poèmes de la petite Thérèse de Lisieux, à la magie d’une voix magnifique, dans un édifice religieux à l'acoustique exceptionnelle, et dans une action de solidarité qui apportera une aide supplémentaire au père Pedro.
Les bénéfices seront versés au profit de l’œuvre humanitaire « Akamasoa » du Père Pedro à Madagascar, missionnaire argentin lazariste qui travaille depuis plus de trente ans avec les familles les plus pauvres de Madagascar. Pour leur permettre de quitter les décharges de Tananarive, il a construit avec eux plusieurs villages, développé l’accès au travail, à l’enseignement (15.000 enfants scolarisés) et aux soins de santé.
Beauté et solidarité seront à l’affiche de ces deux concerts de Natacha St-Pier à Luçon le 18 septembre 2020.
Réservations des places sur le site ↓
Tarif de soutien : 50 euros. Tarif adulte : 35 euros. Tarif enfants (de 5 à 13 ans) : 15 euros.
Le père Pedro est aussi un peu un "père" pour chacun(e) de ses protégé(e)s d'Akamasoa (Reproduction interdite sans autorisation)
« OPEKA » est donc le titre du 2ème documentaire du réalisateur indépendant Cam Cowan, qui a obtenu avec ce film la palme d'or du Beverly Hills Film Festival 2020.
C'est aussi le patronyme du père Pedro Opeka, le héros de ce long métrage, où après le 1er film de Cam Cowan « Madagasikara » qui évoquait la survie à Madagascar, « Opeka » raconte cette fois l'espoir à travers un fabuleux portrait du père Pedro !
↓ Après ce prix prestigieux qui fera aussi connaître davantage encore Madagascar,
le père Pedro confie aussi ses espoirs, en exclusivité, en vidéo, à 2424.mg ↓