Bienvenue sur le site officiel de l'association Vendée-Akamasoa, relais vendéen et humanitaire en faveur des actions permettant de financer, soutenir et favoriser l'oeuvre caritative du Père Pedro à Madagascar. Pour tout renseignement et/ou dons, vous pouvez nous écrire PAR LE LIEN CI-DESSUS intitulé : CONTACT (en haut de la page d'accueil, sous la bannière du blog).
Le père Pedro a plus d'une corde à son arc de prêtre missionnaire pour apporter de l'aide aux plus démunis et leur mettre un peu de soleil aussi dans le coeur. Comme par un beau dimanche après midi ensoleillé,on peut le voir sur cette vidéo ci-dessous, où il s'occupe de la vingtaine d'orphelins qui l'entourent en permanence.
Et ça ne s'invente pas, le père Pedro a revêtu son maillot argentin et shoote dans un ballon signé Messi, mais oui, l'international argentin comme lui, qui évolue au FC Barcelone ! Pas le père Pedro, Lionel Messi ! Que le père Pedro a rencontré il y a a peu (LIRE ICI). Le père Pedro a hésité avec la vocation de footballeur, ç'eut été dommage mon père pour tous les pauvres que vous aidez !
Oui vous avez bien vu : ce coeur humanitaire complice entre le père Pedro et Cyrielle Hariel est bien le geste symbolique d'une belle rencontre !
Sur Europe1,Cyrielle Hariel est allée à la rencontre du père Pedro et en a dressé un beau portrait sur cette radio, impressionnée par son charisme et sa détermination, en voici ci-dessous la vidéo exclusive
Les conditions sanitaires de la Grande Île, surtout dans les quartiers défavorisés, sont propices aux maladies.
Selon le gouvernement malgache, l’épidémie de peste qui frappe la Grande Île aurait fait pour l’instant plus de 40 morts. Plusieurs centaines de personnes auraient été infectées, dans les zones rurales mais aussi dans les grandes villes. Dans la région du père Pedro, pas de cas détectés pour l’instant mais évidemment des mesures sanitaires sont instaurés à Akamasoa, comme ailleurs dans l’île rouge.
La peste frappe Madagascar. Aux frontières, les contrôles ont été renforcés et à bord des avions. À Paris, l’Institut Pasteur suit l’évolution de l’épidémie. Depuis les années 1980, la maladie revient toujours à cette période de l'année sur la Grande Île. Mais elle est beaucoup plus virulente en 2017. Les habitants parlent même de «saison pesteuse» qui s’étend jusqu’en avril.
Pour l’instant, le père Pedro n’est pas touché avec ses protégés dans la région d’akamasoa : « Pas de cas sur Akamaso pour l’instant, mais ils prennent des précautions comme ne pas se serrer la main, ne pas s'embrasser. Des mesures simples de bon sens. Et ça fonctionne pour l’instant », indique-t-on dans l’entourage du père Pedro. Mais ce reportage en vidéo de France24, ci-dessous, est parlant et évocateur.
Deux formes de pestes sont connues. Il y a d’abord la peste bubonique, la même qu'au Moyen Âge. Les symptômes sont connus et les traitements faciles d'accès. Elle est moins contagieuse que l'autre maladie, plus récente, et foudroyante : la peste pulmonaire. À Madagascar, c'est malheureusement la plus répandue, dont la bactérie passe par la salive. L’Institut Pasteur suit de près la situation. « La nouveauté, c’est que l’épidémie se propage désormais dans les grandes villes », indiqueJavier Pizarro Cerda, de l'unité peste de l’Institut. « Elle se propage donc plus vite, vu la multiplicité des contacts. »Ce sont les rongeurs qui transmettent la maladie en premier. Les puces sont suspectées aussi. Mais on ne sait pas encore pourquoi la peste est plus étendue cette année. Des analyses sont en cours et des moyens de soins adaptés et autres gestes sanitaires sont accrus depuis le début de l’épidémie.