L'Association Vendée-Akamasoa

Le média "BRUT" présent avec ses vidéos LIVE sur tous les réseaux sociaux est devenu aujourd'hui un incontournable de l'information française et internationale.

"BRUT" vient de mettre à l'honneur le père Pedro et son oeuvre à Madagascar (visionnez ci-dessous), au moment où le père missionnaire publie aussi avec Pierre Lunel et le photographe Rijasolo : "La cité d'espérance du père Pedro" (Éditions du Rocher)...

« Quelle figure que cet homme-là » a dit Olivia Schaller, du père Pedro, dans « Télé Matin » sur France 2, le mercredi 2 janvier 2019, présenté avec Thierry Baccaro. Présentation du Père Pedro Opeka, parti s'installer à Madagascar en 1975, et qui vient de faire paraître un nouveau livre : « La cité d'espérance du Père Pedro » avec Pierre Lunel, sur des photos de Rijasolo (Éditions du Rocher).

Rencontre avec le Père Pedro qui raconte son aventure humanitaire à Madagascar avec les familles vivant sur une décharge d'Antananarivo. Et devenue l'association Akamasoa !

Exclusif, le père Pedro à Télématin sur France 2 ↓

Sur Europe 1 Cyriel Hariel dresse le portrait du père Pedro qui l'a impressionnée « tant par son action que par son charisme ». Le père Pedro a été nommé à trois reprises pour le Nobel de la paix, et vient de publier avec Pierre Lunel et Rijasolo pour les photos : « La cité d’espérance du père Pedro » (Éditions Le Rocher).

Le père Pedro dans le cadre de sa tournée pour présenter son livre "La cité d'espérance du père Pedro" (Édition du Rocher), écrit avec Pierre Lunel et illustré par Rijasolo, a été invité par Maïtena Biraben, dans l'émission "M comme Maïtena"...

Voici un extrait émouvant :

Et pour écouter l'intégrale de l'émission :

CLIQUEZ → ICI → PUIS EN HAUT DE PAGE SUR LA FLÈCHE NOIRE (ROND ROUGE)

« Good Friend-Pedro Opeka » du réalisateur slovène  Jože Možina à la filmothèque vaticane : le film « Pedro Opeka, bon ami » réalisé par Jože Možina – journaliste de la télévision nationale slovène – a été projeté le vendredi 16 novembre 2018 au Vatican par l’ambassade de Slovénie près le Saint-Siège et par le ministère slovène de la Culture, à l’avant-veille de la deuxième Journée mondiale des pauvres (VOIR LA BANDE-ANNONCE EN ANGLAIS À LA FIN DE CET ARTICLE). Une consécration de plus pour le père Pedro Opeka, lazariste originaire de Slovénie par ses parents, et figure salvatrice des pauvres du peuple malgache depuis son arrivée sur l’île rouge en 1975.

Né en Argentine en 1948, de parents fuyant le régime du maréchal Tito en Yougoslavie, le père Pedro a aussi bien connu Jorge Mario Bergoglio, futur pape François : « Jorge Mario Bergoglio et moi étions ensemble au Colegio Máximo San José (Collège majeur Saint-Joseph), centre spirituel et universitaire jésuite de San Miguel dans le Grand Buenos Aires, en 1967-1968. J’étais un petit étudiant et lui finissait ses études. Son nom, Bergoglio, résonnait déjà dans les couloirs. » raconte le père Pedro, ordonné prêtre le 28 septembre 1975, à 27 ans, à Buenos Aires, et prononce ses vœux de missionnaire dans l'église Lazariste de la rue de Sèvres à Paris, épousant ainsi la cause de Saint Vincent-De-Paul en vouant sa vie au service des plus démunis. Le père Pedro parle couramment six langues : espagnol (sa langue maternelle), slovène, français, italien, anglais et malgache. Il fut ensuite envoyé dans une ville du sud-est de Madagascar.

Bouleversé par le sort de Malgaches vivant sur une immense décharge, le père Pedro fonde, en décembre 1989, l’association « Akasamoa » («Bon et fidèle ami»). Depuis sa création en 1989, son association Akasamoa a permis à quelque 23.000 personnes de sortir de la misère et de vivre dans des villages dignes, avec des maisons en dur, des écoles, des soins médicaux, des parcs… Grâce aussi, en dehors du charisme légendaire du père Pedro quand il prend son bâton de pèlerin, à de nombreux et fidèles mécènes et donateurs, mais aussi ami(e)s et bénévoles associatifs, dont nous parlons ici régulièrement, et particulièrement pour certain(e)s dans les démarches de notre association Vendée –Akamasoa. Ce documentaire projeté au Vatican vise donc un peu plus encore à montrer la dignité et la renaissance vécues par les protégé(e)s malgaches du père Pedro, et plus largement des pauvres du monde entier.

↓ Le père Pedro raconte ci-dessous sa rencontre, déjà, avec le pape François le 28 mai 2018 ↓

Le père Pedro est passé par la chaîne de télévision KTO, avec son dernier livre écrit avec Pierre Lunel, et des photos de Rijasolo : "La cité d'espérance du père Pedro" (Éditions du Rocher), dans l’émission « Églises du monde ». Mais aussi parler du combat inlassable qu´il mène depuis plus de quarante ans contre l'extrême pauvreté à Madagascar.

↓ Voici l’intégrale de l’émission présentée par Stéphanie Dupasquier. Chaque semaine, Églises du monde invite à s’immerger dans la vie d’un pays, à la rencontre des communautés chrétiennes, et des spécificités et du rayonnement de l’Église catholique ou de ses difficultés. Au-delà de l’actualité, il s’agit aussi de comprendre les grands enjeux du pays et la contribution que les chrétiens peuvent apporter à la société.

Dans l´entre-deux-tours de la présidentielle, Églises du Monde met le cap sur Madagascar, île immense située à l´est du continent africain, et l´un des 12 pays les plus pauvres du monde. En 1989, le père Pedro a fondé l´association Akamasoa, pour venir en aide aux pauvres qui vivaient sur une décharge, pour les aider à construire des structures -maisons, écoles, lieux de travail, dispensaires- retrouver leur dignité et préparer l´avenir de leurs enfants. D´une décharge est née une cité d´espérance. À ce jour, plus de 500.000 malgaches ont été soutenus par l´association Akamasoa.

Le père Pedro était l'invité de la radio RCJ (Radio de la communauté juive, issue d'un fonds social), à l'occasion de la parution de son nouveau livre avec Pierre Lunel, et des photos de Rijasolo : "La cité d'espérance du père Pedro" (Éditions du Rocher).

CI-DESSOUS, le père Pedro est l'invité de la radio RCJ, les matinales, spécial "appel national pour la Tsédaka" (terme hébreu désignant dans le judaïsme le principe religieux de l’aumône) – thème l’engagement. Invités : père Pedro, créateur de l’association humanitaire Akamasoa à Madagascar pour son livre « La cité d’espérance » (Éditions du Rocher), Claire de Mazancourt, directrice générale de l’Institut de l’engagement, et Richard Odier, directeur général FSJU (Fonds social juif unifié).

Le père Pedro vient de publier un nouveau livre avec Pierre Lunel, et des photos de Rijasolo : "La cité d'espérance du père Pedro" (Éditions du Rocher).

CI-DESSOUS, le père Pedro est l'invité du média "AleteiaFR", où il raconte son engagement auprès des exclus de Madagascar depuis près de 50 ans, pour combattre la pauvreté, notamment à travers l'association qu'il a fondée, Akamasoa.

Organisé par l’association Vendée-Akamasoa, le grand loto annuel au bénéfice des œuvres du père Pedro s’est déroulé à « guichet fermé », dimanche 18 novembre 2018, dans la grande salle du nouveau restaurant « Le café de la Madelon » au cœur du Grand Parc du Puy du Fou (Vendée).

Pour cette belle œuvre qui bénéficiera, comme chaque année depuis huit ans, aux plus pauvres de Madagascar, le public avait répondu cette fois encore « présent », jusqu’à remplir complètement la salle du loto humanitaire. De très beaux lots ont une nouvelle fois été offerts par de généreux et fidèles sponsors vendéens : le Puy du Fou, la Banque Humanitaire du Pallet (Loire-Atlantique), le château de la Barbinière à Saint-Laurent-sur-Sèvre, le Château Boisniard à Chambretaud, les Brioches Malines Thomas, les vins Mourat, la Laiterie de Montaigu, Hyper U les Herbiers, le Futuroscope (Vienne), le BioParc de Doué-la-Fontaine (Maine-et-Loire), Sodexo Puy du Fou, le train touristique de la Vendée, Leclerc les Herbiers, et de nombreux autres généreux donateurs privés. Mais aussi des nouveaux partenaires comme Les hôtels Kyriad et Mercure d’Angers ou encore le Parc Astérix. L’ensemble des lots offerts par les partenaires s’élevait à une valeur de près de 11.000 €.

« 80 membres bénévoles et soutiens amicaux de l’association Vendée-Akamasoa ont contribué à l’organisation (accueil parking et contrôle, vente de cartes, bar et confiserie, placement en salle, sécurité, etc.), et indirectement aussi au succès de cette huitième édition qui a permis de réunir 10.349 € de bénéfices : un record ! », note avec satisfaction Patrick Boonefaes, président de l’association Vendée Akamasoa (à droite ci-dessous sur la photo). « Cette somme permettra de financer la construction de deux maisons en brique dans l’un des 22 villages initiés par le père Pedro à Akamasoa. »