À Madagascar, la vie s'organise, ou se désorganise, face à la pandémie de coronavirus...
À Madagascar, les travailleurs pauvres tentent de fuir la capitale, Antananarivo. Face à l’épidémie de coronavirus et au confinement, ils ne peuvent plus travailler. L’exode vers les campagnes est leur seule solution…
Le « business » autour du coronavirus se porte bien et certains commerçants réalisent de bonnes affaires : « Avant, je vendais du dentifrice et je gagnais 10 000 ariarys par jour (2,50 euros). Maintenant que je vends des masques, je rentre chez moi avec 30.000 ariarys chaque nuit (7,50 euros) », avoue Tsiry Salesman, un commerçant.